La République d’Azerbaïdjan n’a pas bonne presse. Corruption, népotisme, répression féroce des dissidents et discours de haine à l’encontre des Arméniens du Karabakh et d’ailleurs constitue l’essentiel de l’image du pays qui ne trouve grâce aux yeux de l’Occident que par ses ressources énergétiques, d’ailleurs désormais plus fantasmées que réelles.

Sur Facebook, Mirvari Fataliyeva exhibe fièrement l’ordre du mérite “pour services rendus à la Patrie” dont l’Azerbaïdjan l’a gratifiée. Au moins, c’est clair…
Pour contrer cette image déplorable mais réaliste, l’Azerbaïdjan a mis en place plusieurs officines en Europe et en France : « The European Azerbaïjan Society » (TEAS), le Centre Culturel d’Azerbaïdjan à Paris et la très visible Association des Amis de l’Azerbaïdjan (AAA) dirigée par sa secrétaire générale, Mirvari Fataliyeva, qui était précédemment chargée des relations publiques à la très officielle Chambre de Commerce France Azerbaïdjan. Continue reading